The Official Website of Paul Michael Glaser
"Our ability to love is our truest power, our greatest power as human beings." PMG |
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Update:
November 26, 2006 |
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Scéance du soir
Avant de parler des célébrités et leur rôle dans notre communauté ou même leur contribution dans la société, je trouve important de comprendre pourquoi existent les gens célèbres, pourquoi il faut les créer. Ce matin on en parlait, et au risque de devenir le prof ennuyeux qui vous dit « Si vous l’avez pas compris tout à l’heure, maintenant vous allez piger » (Rires) (il tousse,)« pardon » ma phrase préférée pour définir mon rapport personnel avec la célébrité et à quel point j’en avais peur quand il m’est arrivé, c’est « On crée les dieux afin de les manger » « Les gens créent leurs dieux afin de les manger » Ceci peut se manifester d’une manière anodine comme ses autographes et ces photos que vous preniez. Il se trouve qu’à ce moment c’est moi la vedette. Il peut également se manifester d’une manière plus important – vouloir arracher sa chemise du dos d’un acteur, sauter par-dessus du clôture de son jardin en invasion de sa vie privée. Ou bien une lettre qu’on écrive en demandant une réponse. Ou bien l’hostie et le sang du Christ, car là aussi on demande un morceau de son dieu. Vous comprenez, nous créons les dieux, les héros et il s’agit d’un synonyme intéressant pour nous apprendre comment combattre notre peur de la mort, combattre notre peur que nous ne pouvons rien faire contre l’immortalité. Ce matin je parlais d’un jouer de baseball. World Series, deux et trois, les hommes sur chaque plaque et l’équipe trois points en moins. Et voilà la balle. Serait-il en mesure de rester en place, en confrontation avec sa peur de rater la balle, resterait-il au moment, fixerait-il la balle et la frapper aussi fort quelle sort du terrain ? Et s’il réussit il deviendra l’ultime exemple de notre capacité de faire face à la peur, de rester au moment et de se connecter. C’est très important de comprendre car par cet acte la personne devient l’incarnation de notre besoin de croire que nous aussi nous pouvons confronter nos peurs d’impuissance, de ne pas maîtriser la situation…de ne pas faire une différence, notre peur d’échouer. Faites votre propre liste des peurs, mais en fin de compte il s’agit de la peur de la mort et la peur de la mortalité et je m’expliquerais dans un instant. Ces capacités lui remettent à un niveau ou il devient notre modèle exemplaire…à vos souhaits (à quelqu’un dans l’audience)…il devient une icône digne de nos louanges. On regarde les images et les morceaux de cette personne afin de se rappeler de cette possibilité. Nous avons créée toute une religion autour de cette idée. Toutes les religions y sont fondées. Il me semble très important que l’on comprenne cette idée afin de comprendre notre besoin de célébrité. Chacun de nous a besoin de célébrité, pas pour soi-même mais quelqu’un à qui admirer. Pendant le dîner nous disputons et vous avez parlé cette histoire de ah, ah, Paul Newman et quelqu’un d’autre, je crois que c’était Dan, parla d’un autre personnage. Je me souviens, j’assistais à une soirée pour fêter l’anniversaire de Buddy Hacket, au Jonathan Club et me voilà à côté d’une sculpture de glace sur la table et les fruits de mer et j’entendis une voix derrière moi, vraiment tout proche derrière moi et ce voix me fut connue et je me retourna et voilà Cary Grant...et je ne pouvais rien dire, bouche bée. Nous avons tous ce besoin. Bon maintenant je vais faire un écart pour parler des origines de ce besoin d’après mes connaissances et mes idées. N’importe quelle idée du moment de la conception que vous croyez, que ça soit le rencontre du sperme et l’ovule ou la naissance de l’enfant, le point qui convient à votre croyance, il existe un moment biologique bien précis où commence la vie et c’est exactement à ce moment, au niveau animal, vous dans votre compréhension au niveau des cellules vous savez qu’à, partir de ce moment l’horloge se met à fonctionner. A ce niveau animal vous êtes conscient que vous devez mourir. Donc, on est né et le cerveau commence travailler et il dit « woo » il ya un monde là et moi, que veux je faire ? Je suis au milieu et j’ai faim et j’ai ceci et je suis cela. L’idée que l’on ne maîtrise ce situation est anathème pour l’esprit et donc l’esprit conçoit autant que possible les illusions de puissance et de maîtrise et de la capacité de faire la différence. Je suis comme ça, je crois à ceci, je comprends, j’ai construit cela, ceci m’appartient, ma coloris favori, je m’appelle, je suis belle, je suis laid, je suis grand, je suis petit, je suis puissant, je suis impuissant…l’esprit fait le tour de toutes les machinations afin de créer cet illusion de pouvoir, mais au fond existe une vilaine petite vérité que dans cette arène, en ce qui concerne la mortalité nous sommes pour rien…rien, zéro. Donc on a les réactions diverses. On se fâche on se déprime, ceci s’agit de se fâcher contre soi-même, on est triste, on est gourmand on se tourne vers ce qu’on appelle le péché. On fera n’importe quoi pour échapper de ce sentiment d’impuissance et de manque de maîtrise. Les Maîtres, Le Christ, Le Bouddha, pendant tous le passage du temps, les grand maîtres et enseignants ils apprennent quelque chose des grand valeur, ils l’ont étudié, ils l’ont appris et ils en ont parlé et de nos jours on l’étudie toujours et je suis fasciné par la question de comment ces études se traduisent Si je vous demandais un moment donné, ou si je me demandais, si j’avais peur, la réponse sera « oui j’ai peur » et je me servirais de ces mots « J’ai peur ». C’est moi ça ? La peur, c’est moi ? Non. Ce que je veux dire est qu’une partie de moi a peur, je puis l’identifier et la définir à un moment donné. C’est peut-être mon cou, mon ventre, ma poitrine, j’ai mal à la tête…bon donc il existe une partie qui n’a pas peur. Idée intéressante. Tu veux me dire que mon crâne n’a pas peur, ni le bout de mon oreille, ni l’un de mes doigts de droite ? Donc quelle partie de moi est capable de faire ces constats ; est capable de regarde, de s’éloigner afin de dire « cette partie là a peur mais celle-là non ; celle-là est heureuse, celle-là non. » Cette élément de moi et de vous qui est capable de faire ces observations, c’est aussi celle qui est présente maintenant dans cette pièce et capable de vous transporter au plafond afin de s’observer assis sur la chaise. En allant plus loin elle est capable de s’observer en train réfléchir et de dire « de quoi je pense ? J’ai mal à la gorge. » C’est quoi cette prise de conscience qui nous permets de tirer ses conclusions Cet élément capable de voir, de savoir. On l’appelle la conscience, l’éveil Et quand on est en contact avec cette élément capable de prendre conscience, nous avons un choix…et le choix s’agit de « est-ce qu’on se tabasse à mort en raison de notre impuissance ou est-ce on se rende compte que être cet être humaine est vachement difficile, résoudre ce problème de mortalité aussi. Avoir peur en être impuissant, refuser d’en reconnaître….(j’ai mangé trop de bouffe chinoise) et la capacité de choisir la compassion envers soi dans cet endroit qui est l’être humaine. Cette capacité d’auto compassion, de se pardonner son impuissance, de pardonner les autres et leur faire compassion vient de notre capacité de comprendre dès ce moment de conscience, notre situation tant difficile et comprendre cette, partie de nous qui a peur, et donc ce qu’ils ont appris, ces maîtres et il n’est pas question d‘éviter la peur, mais plutôt question de la reconnaître, car c’est comme ça que notre cœur nous est montrer. Il faut vivre sa peur, se concilier avec cette conscience afin de trouver l’amour…la peur et l’amour s’existent ensemble. Le Yin et le Yan. Notre façon de réagir face à la célébrité, l’idée de la célébrité, le fait d’être célèbre, adorer une autre être humaine, comment s’en rapprocher, tout ceci nous apporte plus qu’une photo ou une autographe. Ce qui sont désignés pas l’hasard, par le croisement des étoiles, pour arriver au carrefour où se trouve 4000 spots et tout le monde et là pour observer, ceux qui sont choisis pour devenir célèbre, croyez moi ils ne se diffèrent pas d’une vierge sur le point d’être pousser dan le volcan. …je rigole…c’est vrai…(rires). On veut qu’ils soient nos dieux et on a besoin que leur notoriété nous montre nos dieux ou bien le dieu qui est dans nous. Donc il y a les gens célèbres qui se décident de leur conscience de régir d’une manière sociale, ou bien ils vont dans le monde pour déclarer leur foi, joindre l’acte à la parole, c’est leur voyage leur raison d’être. Ils ne font pas moins pour apprendre que fait celui qui reste à la maison. Il nous est trop facile de lui juger mais il ne nous apprendre pas moins que les autres, car nous avons tous un côté qui préférait mieux rester chez soi autant que ce côté qui a envie d’y aller et faire en sorte que tout va bien et que le monde soit OK. Bon, ceci est mon rif au sujet de la célébrité, c’est mon point de vue, mon rapport avec mon expérience. Y a t il d’autre chose que vous voudriez discuter ? Monsieur EGPAF a stimulé cette fac vers une appelle pour mille quilts pour les victimes du SIDA en Afrique, et ceci faisait parti de votre discours sur EGPAF. Nous en avons récolté 17000 et ils ne cessent pas d’arriver. Ma question se porte sur EGPAF et la célébrité. Je n’ai pas beaucoup lu sur la fondation mais il y a un ou deux papiers qui arguent que les gens d’antan, les Rockefeller etc, um, étaient consciente qu’il fallait de l’argent pour créer les fondations mais ils sont restés à l’écart sur le plan personnel, mais les gens de Silicone Valley et (leur ?) fondations sont beaucoup plus impliqués. Est-ce une généralisation ou bien y est il un élément de la vérité ? Si vous permettez, pour moi, c’est généralisé. Je pense…je pense qu’il nous est trop facile de juger, et je pense qu’un mec qui est né de trois générations d’argent peut bien avoir sa propre épiphanie pour faire du bien d’une manière qui compte, je ne suis pas au mur, je ne suis pas la mouche sur le mur de sa maison donc je ne peux pas voir s’il s’agit de faire ces actions pour les raisons d’évasion ou de réductions de ses impôts, je n’en sais rien. En ce qui concerne la fondation il y avait une mère qui venait de perdre sa fille et qui risquait perdre son fils, et elle dit « Pourquoi ne fait on pas davantage pour la médecine de pédiatrie et pour les enfants ? » et donc elle a crée une fondation car face à sa propre impuissance elle avait besoin de sentir utile. Elle a fait quelque chose de merveilleuse, comprenez moi, elle a fait quelque chose et on a fait d’elle une déesse, une sainte… idée intéressante à retenir. Ce n’est qu’une personne, qu’une être humaine qui s’est livrée à la même lutte que nous tous et elle faisait ce qu’il lui était obligé au moment donné, d’une manière spécifique et elle a fait son mieux. Puis vous avez quelqu’un comme Bill Gates, lui – et je ne l’ai jamais rencontré. Je sais qu’il a doté notre fondation de $15 million pour un programme qui s’appelle call to action, ce programme distribue les traitements et la formation aux pays sous-approvisionnés, les pays du tiers monde afin d’interrompre le cycle de transmission de mère en enfant. Là il y a un homme avec beaucoup d’argent, il regarde autour de lui et il se dit « il faut en faire quelque chose’. » Ceux sont tous les particuliers, les gens comme vous et moi et je ne pense pas qu’il s’agit de notre seul moyen de faire jugement mais il est possible – moi-même j’en suis capable ; « ces Yankees, comme je les déteste ! » Commet puis-je dire pareil, certains entre eux sont très bien, et moi je suis de Boston (Rires), mais on le fait tous, n’est-ce pas… ; chacun sa racisme, nous sommes tous capable de mettre certains gens dans le même groupe. Je ne sais pas sauf pour dire Dieu merci ces gens existent pour faire l’équilibre par rapport avec ceux qui ne feront rien, vous savez, et on a besoins de plus de gens comme eux. D’autres personnes ? De par votre expérience ah, de la mort de votre femme avez-vous surmonter votre peur de la mort ou bien est cette peur renforcée ? Non, je ne crois pas que l’on ne puisse jamais surmonter et je pense qu’il ne faut pas en vouloir faire. Je ne le crois pas parce que primo je ne pense pas qu’il soit possible et il me semble que ce qu’on apprend, ce que j’apprend ou ce que j’apprend étudier, par une grande chance que j’ai trouvé, des très bons maîtres, et un en particulier, ce que j’ai appris c’est que mon ami…ma peur est également mon amie. Ma peur me permet de faire les choix à partir d’un certain point et ces choix me permettent de faire élargir mon cœur, donc l’expérience de la peur m’était aussi importante qu’un poursuit fantaisiste vers un endroit ou je trouverais le bonheur en permanence, ceci n’existe pas…(son portable se met à sonner) ... je vous ai dit que si mon portable sonne, vous sauriez. . Quelqu’un veut danser ? [La sonnerie est une thème musicale]. Bon je l’éteins. Bon vous savez la vie est drôle, car quand je fut à la fac, non après, ma nièce, la fille de ma sœur, me demanda de prendre une pub dans son annuaire [de lycée/fac] et ma réponse était oui si t’y mes un de mes poèmes et elle fut d’accord. Ceci n’est qu’un observation, le poème est intéressant et je vous le lira dans un instant, mais pour moi ce qui importe est de revenir en arrière et voir à quel point mon voyage est lié avec la peur et d’en faire avec, et ça long tems avant A) Je suis devenu célèbre. B) La rencontre avec ma femme. C) Mon expérience avec le SIDA. C’est intéressant et ça m’intéresse car [il montre] comment chacun de nous, sans juger pour le bon ou pour le mal nous devons témoigner à notre propre chemin avec une curiosité et avec stupéfaction. ‘Waow’ regarde moi les leçons devant moi Maintenant. Regarde ce que je dois apprendre. Tu vas le faire jusqu’au réussit. Regardez mes leçons ; L’univers ne donne pas ce qu’on veut mais ce dont nous avons besoin et peut-être c’était, vous savez, la peur se jouait un grand rôle. Voici mon poème : La peur est stupéfiante. Elle t’enveloppe dans ses bras, Elle te suffoque Elle tient ton cœur dans sa paume Elle tressaille à crever ta vie Et voilà (Rires) Quelqu’un d’autre ? Pensiez vous qu’il y un rapport malsain entre la célébrité et le mécénat ? Je veut dire, si je pense à la femme de Charles Bronson, elle fut atteint du cancer du sein elle est devenu en sorte le visage du cancer de sein, puis vient la prochaine vedette, comme par exemple Lance Armstrong et le cancer de testicule, moins d’argent pour le cancer de sein et plus pour le cancer de testicule. Et d’après vous comment définir malsain ? Bon il devient plutôt question de mécénat du moment, Bill Gates ( ?) [basé] un personnage de prou. Et c’est mauvais ? Je ne sais pas. Est-ce mauvais ? Je vous demande Bon il me semble transitaire, peut-être pas totalement un esprit de mécénat, mais plutôt les impulsions du moment. Pourtant, l’attention est attirée vers la cause et permets la récolte d’une certaine somme de l’argent qui permet la recherche pour développer cette cause. Je n’en sais rien Je pense que le poids de votre question est dans l’acte de juger à laquelle nous sommes tous susceptibles, vous savez, si c’était la femme du Président, en quoi serait il différent. Ca dépends qui est à la Maison Blanche, Démocrate ou Républicain (Rires), ah, (il rit) Vous voyez, encore une fois ça donne une visibilité, surtout de notre société capitaliste où on est formé et conditionné de récompenser le succès tangible et de chercher ce succès comme un panacée, comme si c’est un antidote à notre peur et notre impuissance, et la pièce de Hari [ ?] Kaufman « You can’t take it with you » [On ne peut pas l’emporter] en témoigne . Ahm, nous sommes formés et conditionnés. Et le revoilà notre esprit, comme j’avais dit toute à l’heure. Vous vous en souvenez, je vous racontais les maîtres étudiaient cette grande idée, nos esprits à la recherche d’une impression de maîtrise, une perception de empuissance qui créent nos systèmes de croyance et valeurs et les qualifications et les quantifications. L’esprit se demande, est ce malsain ? Est-ce mauvais, bon,a-t-il tort ou pas ? Vous savez, dans la tradition Bouddhiste…voyons si je ne me trompe pas ici, ils essaient d’éviter l’aversion et l’attachement. Donc si on regarde le pendule, vous savez comment l’univers s’agrandi et se rétrécie on expire, on inspire ce qui monte, ce qui descend, on vit, on meurt et c’est toujours ces mouvements opposés qui continue et … ah.. J’ai perdu le fil…doit être la bouffe chinoise (rire) Je disais ? L’aversion, donc il y a ce deux mouvements, deux mouvements dans l’univers. Et on peut également parler du mouvement du pendule. Donc le pendule monte jusqu’à la peur et on dit « pas de chance, va-t-on, je file d’ici. » Que faire, comment puis je le dissimuler ? Donnez moi à manger, donner moi à fumer, je m’en vais, je ne veut pas en faire face ! J’y crois. Mon Dieu ! Nous faisons tous qui rentre à notre esprit et puis le pendule engage son mouvement de retour et au milieu il y ceci (il respire longuement d’une manière très relaxe) paix, et puis il s’en est allé et il remonte jusqu’à l’autre côté, douce et agréable, mmmm oui je l’aime, elle/il est superb(e), oh j’aime ça, sent bon, j’aime le goût, o mon Dieu, le fric, le succès, la sécurité le confort, mais je ne peut plus y tenir car le pendule recommence son retour et il va passer du moment ou on se dit ‘Je suis en paix avec le monde’ et il s’en va. Donc on continue de parler de l’aversion et de l’attachement ou de l’attachement et l’aversion et comme il faut en éviter. Non pas les éviter mais pas s’impliquer. En faire témoin, en faire l’expérience dit « regarde moi, maintenant je suis tellement accrocher à quelque chose » Ne te mets pas la botte aux fesses en disant « Schmuck » [yiddish = connard] mais plutôt se dire « C’est un élément très intéressant de mon chemin unique et personnel dans ce corps, dans cette vie, dans cet époque. Ah pour moi c’est très sain de cultiver ceci. Je m’efforce de le faire. Quelqu’un me fâche oooooooo je peux devenir vraiment infecte, ce m’est arrivé ce matin. Bon donc…(rires) Oui Quel âge aviez vous quand vous vous rendez compte de votre sens de l’humour ? (il rit) Je ne sais pas, parlez vous de la précocité ? (il rit profondément) je ne sais pas : je ne sais pas, j’sais pas ah ah…vous avez quel âge ? J’avais quel âge ? J’ai quel âge ? Quel âge ai-je ? Je ne sais pas, je pense que sur le plan émotionnel je dois avoir maintenant la quarantaine. D’autre ? Monsieur Vous avez expliquer votre philosophie de la vie et je me suis demandé comment vous l’appliquer à votre travail humanitaire, quel influence a-t-elle sur vos objectifs ? Vous savez, beaucoup et le résultat, c'est-à-dire, ….quel fut mon motivation après la disparition de ma femme qu’est qui m’a poussé devenir Président du conseil de la fondation. Je croyais, je croyais qu’il me fallait continuer son travail et de faire ma différence et c’était vrai jusqu’un certain point, un certain point. On y trouve pas mal de kyudos et la sympathie aussi. « Oh comment l’avez vous surmonté ? Mon Dieu vous êtes incroyable. Comment avez-vous fait ? » Comment ai-je fait pour surmonter ? Je ne sais pas, j’ai mis un pied devant l’autre. Mais j’étais conscient que depuis un an avant la mort d’Elizabeth je suivais mon chemin en étudiant et pendant cette année et les années suivantes, j’apprenais de ne pas devenir un vieux homme plein d’amertume et de devenir de plus en plus en contact avec mes capacités d’aimer, car mon survivre s’y trouvé. Donc quand je suis allé parler de la part de la fondation je traitais des mes études et ses relations avec mon compréhension de l’épidémie du SIDA et comment ceci pouvait nous apprendre chacun sur nous-mêmes, sur notre planète, notre survie, notre voyage, notre voyage personnelle et tous par l’exploration de ma propre voyage. J’ai toujours dit, quand je jouais, quand je réalisais et maintenant quand j’écris, que il m’est vraiment important que j’identifie un parallèle entre mon travail du moment et ma vie au même moment…pour savoir pourquoi j’y suis. C’est ça que j’étudie afin que quand je me retrouve en difficulté je saurais où se trouve la base. Je peux dire « oui, ok » car quand on crée on a besoin de se mettre dans les plus beaux draps que possible, c’est le secret, n’est-ce pas, de se perdre car quand on est perdu on est aussi à la recherche perpétuelle de trouver entre l’aversion et l’attachement. Donc, je pense que la fondation m’a servi autant que moi j’étais à son service...j’ai beaucoup appris et je me suis retiré avec beaucoup de sentiment ambiguë, vous savez, ce travail m’a plu, j’aimais l’opportunité de partager avec les autres et parler et la mode ah ah ah vous savez ah ah je cherche mon mot…ah ah ..l’avenir de la fondation et nous l’avons agrandi pour devenir plus important et je voulais assurer que la vraie, le vrai voyage de la fondation, sa vraie mission, vous savez toutes les fondations ont leur déclaration de mission, oh mon Dieu, déclaration de mission ! Bon, la vraie mission de cette fondation, à mes yeux, c’était qu’elle soit une exemple dans le monde de ce qu’on puisse faire en joignant les mains les uns et les autres. Donc, pour moi ce fut et sera toujours la raison d’être de la fondation et j’ai voulu l’étudier et y apprendre, et continue de le faire, mais je me suis décidé qu’un moment et venu où, vous savez, je me suis remarié, j’ai encore une petite fille et pour ma femme et ma fille il est très difficile de devoir toujours remonter à ce monde. J’ai fais mon truc et j’avais tellement envie de raconter les histoires car ceci me donne la possibilité de donner de moi et de mes études aux autres et quoi, quoi je, ce que je crois, donc voilà pourquoi j’ai pris ce choix. Oui Vous avez parlé du rapport entre les gens célèbres et l’humanitaire, et je voudrais savoir si vous pouvez parlez des artistes et leurs capacités de créer et d’imaginer les mondes possibles et de nous le visible. Quelque part dans le pouvoir des acteurs, les réalisateurs et les auteurs où ils sont que le savoir faire de [unintelligble]… Bon, oui, je veux dire, vous savez il s’agit de raconter les histoires, et vous savez souvent je fais allusion aux toutes du commerce, au début, quand le premier caravane de chameau en rencontra un autre, d’accord, et ils regardèrent et (il renifle) ils se reniflent et ils se méfirent dadadada et puis ils mirent à côté cette peur initiale et ils se rendirent compte qu’ils n’allaient pas s’entre détruire ni s’entre manger et ils se mirent à raconter les histoires. « Je te parle de ma femme, elle me rend fou : » ou bien « j’ai un gosse il fait toujours ceci ! » ou « Il y avait un mec auprès de l’oasis… ». Ils se mirent à raconter les histoires et il s’agit de leur façon de communiquer, l’ancienne tradition orale de leur société et c’est devenu la tradition pour transmettre, l’ancienne tradition pour transmettre les leçons pour chaque génération à venir. Et puis il y avait d’autres doués, le mec dans la grotte qui dessine une buffle sur quelque chose, d’accord, et lui, ou elle, pourrait, avait le don de représenter sur un bout de grotte cet animal au moment de la fuite,…et ceci parla au gens. Ces gens doués pour raconter les histoires ou pour dessiner ou pour la coloration, furent ils, furent ils doué par coup de baguette magique ? Je ne crois pas. Je pense qu’ils aient ces dons parce qu’ils furent un peu plus sensible, c’est arrivé et puis ils sont évolués soit car ils ont été exposés à certaines choses, ou on les enseignait ou d’un besoin de voir les choses comme moi j’en avais besoin de faire. Il me faut voir la lumière plutôt que l’objet. J’avais commencé…cet après-midi je parlais de quand j’ai enseigné un cours de Master en réalisation et j’ai dit « Qui parmi vous se sent vraiment obliger, et qui mourra plutôt de ne pas le faire ? » Il n’y avait qu’une main levée. Pour les autres, l’idée n’est pas mal, ils voulaient en savoir plus, il valait un ou deux crédits, il n’y avait pas beaucoup de devoirs…il n’y avait qu’une personne qui se sentait obligée. Et j’ai le même conseil aux acteurs, si vous vous entez vraiment obligé allez à New York, trouvez un emploi pour savoir si vous pouvez vous en sortir dans les rues de New York pendant que vous frappez aux portes et vous essayez d’avoir des auditions de rôle, et vous essayez d’avoir la Chance et si vous pouvez le faire, bon vous vous sentez obligé ; et là vous créez et vous sentirez la création de votre besoin, de votre sensibilité pour vous exprimer d’un certain façon. Donc un artiste qui a le don car il est capable de voir les choses autrement. Je pense que mon don pour jouer et pour conter vient de mon voyage personnel avec mes parents. Mon père fut un bourreau de travail et a mère…elle avait ses propres problèmes. Mais elle me mettait en place pour performer, mes sœurs là pour performer et nous le faisions, nous faisions le jeu et il m’est une langue dont j’étais capable de parler. Et mon besoin, mon envie de communiquer me sensibilisait du parler des gens, leur comportement leur apparence. Donc je suis devenu sensible, pas à cause de don extraordinaire mais parce qu’il s’agissait de mes besoins physiques, psychologiques et émotionnels face à les désirs que je pouvait avoir en tant qu’enfant…donc l’artiste a besoin de voir les choses comme ça et nous, à cause de nos besoins intimes, il faut qu’il nous soit communiquer de nos intérieurs, puis nous revenir. Nous avons besoin du miroir que les artistes, graphistes, les musiciens et les acteurs nous donnent afin de nous réaffirmer et rassurer sur notre communauté et l’expérience de l’expérience commun de peur, de souffrance, de joie, de sottise. Ils nous fournissent une vraie gamme de langages à partir de laquelle nous pouvons communiquer nos besoins et retenir l’intérêt pour la recherche contre le cancer de sein, attirer l’attention à la recherche pour le SIDA enfantin. Il s’agit d’une histoire de plus qu’on doit raconter, de toutes les histoires, et elles ont toutes leur importance, histoires de mariage de naissance, de vol, de séduction, de charité…. Eh oh ? Suis-je seul dan la pièce ? (Rires) L’un de mes phrases favorite de Leonard Cohen ( ?), il se promène dans la rue, il est quatre heure du matin, il regardent les appartements et sur les gangs de New York et il dit « Comprenez vous, savez vous qui est ici bas ? » (Paul rit) Ah oui Comment voyez vous cela en rapport avec la paralysie cérébrale. Quelqu’un dira bon 100% pour les maladies…5% pour le SIDA chez l’enfant, peut-être 40% au cancer du col de l’utérus mais on ne dépense que 2% sur le cancer du col de l’utérus….Réfléchissons nous si c’est juste ou si c’est la maladie qui importe, comment sont les dollars dispenser … Voilà mes pensées. Je pense qu’il faut demander afin de comprendre ce problème ou d’en parler. Je ne dis pas que je comprends. Primo, il y a la curiosité sans jugement en ce concerne le bon et le mal, ce qui est correct et les erreurs, mais une bonne dose de curiosité pour vous permettre de reculer et regarder à travers d’un caméra a grande angle, voir le tableau intégrale des allé et vient de notre société, ce qui est rendu politique et les choses dont on tient vraiment ou pas et puis il faut regarder l’organisme qui est notre société, cette chose qui agrandit puis se fond et au moment précis dire « J’ai besoin d’une recherche sur le cancer de sein, il me faut une recherche sur le cancer du col de l’utérus, il faut une recherche sur la dystrophie musculaire. » Tout ceci et l’évidence d’un appétit dans notre société et pour moi l’importance de cet exercice de curiosité sans juger et qu’elle nous permet d’éviter les réponses émotionnels, si c’est bon ou mauvais, mais voir plutôt comment en faire interface ; s’il vous est tellement important, si votre voyage personnel de la vie vous amène à Washington DC, grimper les marches et faire du cancer du col de l’utérus une issue, et si vous êtes capable de vous dissocier du jugement moral et aller à l’avant, score à trois et deux, nez bases sont pleins, et être suffisamment au moment pour dire « Voici les raisons pourquoi on oublie le cancer du col de l’utérus et pourquoi ceci ne doit pas continuer et voici pourquoi…….. » les gens vous écouteront. Nous passons trop de temps, à mon avis, pour faire le jugement moral et pas assez pour comprendre ce qu’on essais de faire, et ne pas le juger mais le comprendre. Ceci a l’aire des rêves et j’entends les gens qui disent « Oui Paul c’est très bien, c’est très utopiste de votre part » mais il sert vraiment à quelque chose, c’est pourquoi je reviens à mon histoire de baseball, quand nous nous impliquons dans le jugement entre le bon et le mal on est aussi impliqué dans l’expérience. On souffre, on a peur, on est fâché, nous avons tous ses sentiments et l’énergie nécessaire pour s’investir dans cette lutte ou bien pour lutter quand on fait son plaidoirie face à un autre et il vous oppose « Vous avez tort. » « Non c’est vous qui a tort ! » « Non, vous avez tort » « C’est vous » contre « Voilà mon besoin, et le votre ? » « Ceci est mon sentiment comment sentez vous ? » « Je le comprends de cette façon, et vous ? ». Juger nous amène aux positions contraires et je ne les trouve pas utile. Je pense que notre voyage, pour moi le feuilleton de notre planète s’agit de savoir si nous allons évoluer au point où nous sommes destinés d’être les spores qui se diffusent par tout, ou bien est ce le fin de la race humaine ? Notre conscience tiendra t il le coup ou est ce le côté animal qui dans un spasme de peur s’autodétruira ? Et nous qui posons les questions, comme la votre, comme celle que vous posez, ceux qui luttent pour trouver cette conscience et de le mettre en œuvre et le propager, et partager notre conscience car nous le comprenons au niveau de l’intuition qui, voilà notre salut… notre réponse…… Je vous ai répondu à la question ? Je vous donne de quoi penser. Bon Oui Vous avez dit qu’il doit attendre le même comportement et des gens célèbres et de nous-mêmes. Comment répondez vous quand ces gens ne se comportent pas au niveau qu’on se fixe pour soi. Comme, vous savez, ces gens qui en vedette et il ne sont pas à l’hauteur, et pour exemple avec les enfants, je peux m’imaginer si j’étais parent avec ces demandes de moi comme parent et je verrais d’autres vedettes dont mes enfants puissent leur voir dans les médias, ou n’importe et…il ne sont pas à l’hauteur… Oui
Et je l’attends de moi… Vous avez les enfants ? Non, mais je peux imaginer…… (Il rit) Wooooo, ma foi ! Vous imaginez, je vous l’accord, vous pouvez l’imaginer, moi aussi, et j’aimerais un nickel pour chaque fois ou moi, parent, et les autres parents, que je ne sois pas égoïste là-dessus, et les autres parents ont dit « Mon Dieu, si j’avais fait, j’aurais souhaiter faire, je ne voulez pas’ » Vous connaissez la vieille blague. Le vieux couple, on leur demande « Que feriez vous quand vous serez grandi ? On attend que les enfants meurent ! » Etre parent est plein de déceptions, et elles sont intenses ! Et si on est déçu par rapport avec une célébrité ils touchent ce qui est de vous qui a envi, et qui est déçu, c’est ça que je veux dire. Ils ne sont pas parfaits ils ont leur défauts, ils sont comme vous et comme moi, les êtres humaines et nous ou plutôt les circonstances leur ont mis en dessus de nous, mais ils sont aussi susceptible d’échouer que vous et moi, et quand ils nous déçoivent « Waow » On ne veut pas voir le même chez soi, mais s’i on peux comprendre le choix de se pardonner et d’avoir de la compassion envers soi donc par la suite l’avoir pour eux aussi. Oui, quel gaspillage. J’ai raté plus de possibilités avec mes enfants que je ne puisse imaginer ? On se déçoit tous, nous sommes tous du gaspillage. Oui Quand vous étiez plus jeune… No, je n’étais jamais plus jeune ! (Il rit) Et vous travaillez à la Télé et jouer et tous, concernez vous vraiment à ce que disait la publique ou étiez vous plutôt centré sur les propos des critiques ou ce que votre agent vous demandait faire…. Mon seul désir c’était de ne pas être con devant la caméra ou devant l’audience. …Pensez vous que les acteurs de nos jours ont vraiment votre concept qu’il sont là pour nous amuser ? A mon avis, par rapport avec toute cette merde sophistiqué que nous avons crée pour notre société depuis ces deux mecs assis devant le feu, nous ne sommes pas évolués aussi loin qu’on aimerait croire. O, je ne vous avais pas parlé des deux mecs autour du feu. J’en parlais avec quelqu’un, les hommes dans la grotte. Nous ne sommes pas très évolués. Donc pourquoi un acteur il y a trente ans (il rit) doit il être différent de ceux d’aujourd’hui ? On ne peut pas avoir des acteurs comme ceci et d’autres comme cela. Il ne faut pas généraliser, on ne peut pas, enfin on peut et je vous laisse faire ! Moi je ne le fais pas, pas moi.. Oui On parle souvent de remettre à la société, et être un acteur en travail et une vedette signifie qu’on fait un bon travail et les autres en sont contents, pensez vous que les gens célèbres ont cette idée d’obligation de remettre ? Encore une fois, chacun son truc, il faut comprendre que devenir célèbre et en soi de la créativité, d’accord ? Donc un sculpteur, ou un peintre, la bonne nouvelle est de devenir célèbre après sa mort. Car quand on devient célèbre dans son vivant, il faut constamment se réinventer, il faut se réinventer, et certains comme Picasso et Gauguin l’ont fait belle carrière. Le…comment dire…quand on devient célèbre 99% du temps c’est le résultat d’avoir collaboré dans quelque chose, on y jouer. Je ne voulais pas de S&H ! Je suis allé lire. Spelling et Goldberg me demandaient à plusieurs reprises d’accepter la série. Moi je disais « non, non et encore non » J’ai lu le scripte, et j’ai dit c’est un projet-pilote, un filme de deux heures, ça deviendra jamais une série et au moment de l’audition je dormis, je m’en foutais. Je l’ai eu. J’ai tourné et quand on nous annonça qu’il deviendrait une série je fus agacé car il me semblait en dessous de toutes mes idées du style de travail pour lequel je voudrais être célèbre (rires) et ...d’accord ? Donc à ce moment où m’est arrivé le succès , je m’impliquais dans l’acte de devenir célèbre, qui veut dire, veut dire, il me fallait m’expliquer à moi-même, m’expliquer les autres et leur demandes, tous ces photographes et ces gens qui voulaient une autographe, tous ce monde, les potins les, les journalistes tout le tout l’équipe de tournage, car il voudraient pouvoir régler les traites pour la maison à Big Bear, donc ne fais pas de vagues, mes nous en avant. Sur les plans psychologique, émotionnel être la vierge au bord du volcan, d’être le dieu que l’on veut manger devient une prestation d’équilibre créative. Certains l’aperçoivent d’un manière et les autre on leur vision des choses, il y a ceux qui s’implose et d’autres qui s’explose, certains remettre, hey que se mettre devant la caméra et raconter une histoire s’agit de donner. Regardez certains très bons acteurs, ce qu’ils font et leur capacité de vous sentir quand vous allez au cinéma, ils vous donnent beaucoup. Pour certains le fait d’être célèbre leur donne envie d’être plus active dans le récolte de fonds, d’autres pas, nous en avons déjà parlé. Oui Vous avez fait allusion à votre écriture, pourriez vous nous parler de ceci ? Je préfère ne pas faire, car vous voyez, c’est un processus. Ah il y a à peu près sept ans j’ai ah fait mon dernier film. J’en fut producteur, réalisateur et auteur, enfin co-auteur, il s’appelle KAZAAM avec Shaquille O’Neal et j’étais très déçu avec tout l’expérience avec les studios. Je n’aimais pas leur façon de faire, donc je retira du Columbia (c’est Sony maintenant) le projet en disant que j’allais écrire un petit film, puis je me suis rendu compte que bien que j’avais fait les révisions d’écriture en tant que réalisateur, je n’en savais vraiment rien, donc je me suis mis à écrire de plus en plus et quand je me suis enfin représenté en effet les gens de l’industrie me disaient « Vous avez quel age ? Votre dernier film a-t-il gagné beaucoup d’argent ? » Et donc je savais que si jamais je voulais relancer ma carrière, il fallait me lancer dans une autre voyage, l’écriture. La création de quelque chose. Donc depuis cinq ou six voir sept ans je m’en consacre. Je travail sur quelques scriptes, un livre pour enfants et puis un roman que je vais écrire, tiré d’un scripte j’avais déjà écrit, ma femme me conseil de le refaire en roman car sur le plan schématique c’est le travail qui reflets le plus mon vécu des quinze dernières années. [Ici manque une partie de la discussion où Paul parle de ces livres] D’autres questions Je me suis amusé, vous aussi j’espère Merci Applaudissments
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